In sub-Saharan Africa, an estimated 65 per cent of soils are degraded, and unable to nourish the crops the chronically food insecure continent requires. Poverty, climate change, population pressures and inadequate farming techniques are leading to a continuous decline in the health of African soils, whilst the economic loss is estimated at USD 68 billion per year. Conversely, better land management practices could deliver up to USD 1.4 trillion globally in increased crop production – 35 times the losses.

These guidelines support GEF project developers in formulating projects that contribute to the LDN ambitions of countries and in ensuring that other projects not directly targeting LDN are compatible with LDN objectives and approaches. The guidelines complement and expand the Checklist for Land Degradation Neutrality Transformative Projects and Programmes.They are intended to be applied during project development and at the problem definition and intervention design stages; they are also relevant to monitoring the achievement of LDN goals.

Land use change is a major global driver of pandemic risk. Land usechange is a significant driver of the transmission and emergence of infectious diseases 40,177-179. Land use changeis cited as the cause of over 30% of emerging infectious diseases, and correlates significantly withthe emergence of novel zoonoses globally 13,180. However, the mechanisms by which diseases emergeare context-specific and scale-dependent.

How land is used affects a wide range of outcomes – from day-to-day quality of life, such as the length of commutes, to the environmental sustainability of urban and rural communities, including the possibility for climate change adaptation and mitigation. Moreover, the economic importance of land is immense. Land and the buildings on it are approximately seven times as valuable as all other assets taken together and land-use policies play a crucial role in determining land and property prices. Beyond economic value, land also has important sentimental value.

Le Cadre d’analyse de la gouvernance foncière (CAGF) est un outil de diagnostic permettant d’évaluer le cadre juridique, les politiques et les pratiques en matière de gestion foncière et d’utilisation des terres.

Ce cadre conceptuel a été élaboré par la Banque mondiale depuis 2008 dans le cadre d’un partenariat avec la FAO, ONU- Habitat, le FIDA, l’IFPRI, l’Union africaine et des agences de développement bilatérales, comme outil de diagnostic permettant d’évaluer le statut de la gouvernance foncière d’un pays.

Points à retenir

Cette publication de la série « Success Stories » présente les bonnes pratiques en matière foncière en Colombie à travers l'application des VGGT par certains projets de la FAO entre 2014 et 2021, notamment dans le cadre de l'amélioration de la gouvernance et de la réduction des conflits dans les aires protégées, du renforcement des communautés en termes de leurs droits fonciers, et la restauration des droits territoriaux des communautés autochtones et/ou afro-descendantes.

Document de réflexion dans le cadre de l’élaboration de la politique foncière rurale de la République du Niger.

Dans le contexte de la mise en œuvre des Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de la sécurité alimentaire au Niger.

Le dépliant rapelle la contribution des organisations de la société civile dans le processus d'élaboration de la politique foncière rurale au Niger et leur rôle dans la mobilisation des acteurs, le partenariat créé dans une approche participative et inclusive

Les conflits fonciers et leur résolution à l’échelle locale dans un contexte de marchandisation de la terre. Une étude de cas dans les Hautes Terres à Madagascar.

Cette étude est le troisième volet d’une série consacrée à l’accès à la terre, thématique centrale du programme 2017-2021 d’Entraide et Fraternité. Les deux premiers volets ont été consacrés en 2018, à Madagascar et en 2019, aux Philippines.

La SNE Albanie est appuyée par des OSC, des députés, des établissements universitaires, la Banque mondiale et l’Agence suédoise de coopération internationale pour le développement. Le gouvernement la considère comme un point de référence crédible et digne de confiance, qu’il est possible de consulter sur les questions de gouvernance foncière et forestière. Comment la SNE Albanie y est-elle parvenue ?