Les populations vivant aux alentours d’aires protégées doivent développer de nouveaux moyens de subsistance pour assurer leur survie. Les populations riveraines des forêts dépendent souvent de l’utilisation des produits et services que leur offrent les ressources naturelles. L’exploitation de ces produits jadis «gratuits» est aujourd’hui réglementée et limitée, notamment pour des raisons environnementales.

L'eau est un bien précieux dans les régions semi-arides du Rajasthan, en Inde. En outre, le changement climatique exerce une pression supplémentaire sur les ressources rares. Des précipitations irrégulières, voire inexistantes, obligent un grand nombre de petits paysans à abandonner au moins temporairement leurs champs, afin de chercher du travail dans les villes.

Dans les pays en développement, l'élevage représente plus d'un tiers du produit intérieur agricole brut ; la croissance et la transformation rapides du secteur de l'élevage dans de grandes régions de la planète ont débouché sur une amélioration des revenus et de la situation alimentaire d?un grand nombre de personnes. Cette « révolution de l'élevage » a cependant largement négligé les producteurs pauvres ; elle a, en outre, accru le risque de zoonoses et été à l'origine de dégradations environnementales.

L?élevage et la commercialisation d?animaux utiles permettent d?assurer quotidiennement la subsistance de plus d?un milliard de personnes. Mais aussi essentiels qu?ils soient pour l?alimentation, le revenu et la santé, ces systèmes d?élevage tropicaux peuvent autant altérer qu?améliorer les ressources en terres et en eau et génèrent, comme tous les systèmes d?élevage partout dans le monde, des gaz à effet de serre, qui contribuent au réchauffement climatique.

Global demand for timber, agricultural commodities, and extractives is a significant driver of deforestation worldwide. Transparent land-concessions data for these large-scale commercial activities are essential to understand drivers of forest loss, monitor environmental impacts of ongoing activities, and ensure efficient and sustainable allocation of land.

This study assessed the contribution of Geita Gold Mine (GGM) to the livelihoods of local communities in Geita District. Specifically, it assessed the effectiveness of corporate social responsibility implementation, determined the extent to which GGM has contributed to socio-economic development in the study area, and examined the communities’ perceptions of environmental problems associated with mining activities and their impact on community well-being. A cross-sectional research design was employed, in which qualitative and quantitative methods of data collection were used.

Planning for climate resilience growth is increasingly important for the natural resource dependent economy of Tanzania. Central government does not have the knowledge, reach, skills or resources needed to plan for the range of livelihoods within Tanzania; but local governments, if granted the authority and resources, could plan with communities in the flexible, timely and appropriate manner that climate variability demands.

This study is focused on the effects of the eviction process of pastoralists from Mbarali to Lindi Rural and Kilwa Districts in Lindi Region. The study sampled six villages out 15 villages in Lindi Rural and Kilwa districts. The study employed semi-structured interviews and focus group discussions with district, village authorities, host communities and migrating pastoralists in selected villages.

La migración interna en Chile responde a la búsqueda de mejores oportunidades de estudio y empleo. Al migrar, la mujer se incorpora en actividades no calificadas como, por ejemplo, temporeras en la agroindustria de la fruta. Las que permanecen en las zonas rurales asumen, además de sus actividades tradicionales, la responsabilidad de las tareas productivas.

A partir de las solicitudes de Apoyos de Respuestas Rápidas (ARRs) el FAU-AL creó la Iniciativa Colaborativa: Mujeres, Territorios y Medio Ambiente con el objetivo de dar respuesta a las necesidades de las defensoras de derechos de la Madre Tierra y a las organizaciones ambientalistas.

A Lei n.º 62/2012, de 10 de dezembro, criou a bolsa nacional de terras para utilização agrícola, florestal ou silvopastoril, nos termos da qual a Direção -Geral de Agricultura e Desenvolvimento Rural (DGADR) exerce as funções de entidade gestora da referida bolsa. A Resolução do Conselho de Ministros n.º 24/2014, de 20 de março criou o grupo de acompanhamento da bolsa de terras, integrado, nomeadamente, por representantes das direções regionais de agricultura e pescas e das GeOp.